Pour finir, le lendemain, traversée, dans le sens de la longueur, du Diable (900 m). Une dernière étape qui nécessitait que les coureurs soient lâchés à quelques dizaines de mètres de l’île qu’il fallait rejoindre à la nage (avec les runnings dans les touques !). Le tout au nez et à la barbe de la Maréchaussée qui interdisait déjà l’accès au site. Longtemps considérés comme définitivement perdus pour l'histoire du sport guyanais, les résultats de cette épreuve initiale (et unique !), inscrite, depuis et pour l'éternité, au Panthéon du TAC, ont été tout dernièrement été retrouvés dans un carton d'archives oubliées du club. Des instants inoubliables et des performances d'un autre temps sortis de la naphtaline...